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L’histoire que je vais te raconter aujourd’hui est aussi choquante qu’inattendue…. Tu te souviens de David Carradine, l’acteur mythique de la série Kung Fu et du film Kill Bill de Quentin Tarantino ? Un acteur légendaire, une carrière impressionnante… mais une fin tragique qui a fait la Une des journaux en 2009.
Une découverte macabre dans un hôtel de Bangkok. Le 4 juin 2009, David Carradine est retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel à Bangkok, en Thaïlande. Une scène sordide : son corps est suspendu dans sa penderie, une corde attachée à son cou et une autre à son sexe, les deux reliées ensemble.
La première hypothèse ? Un sui•cide. Mais très vite, l’enquête révèle une toute autre réalité…
L’auto-asphyxie érotique : un jeu dangereux. Ce que pratiquait David Carradine ce soir-là, c’est une technique appelée auto-asphyxie érotique. L’idée derrière cette pratique ? Priver le cerveau d’oxygène au moment de l’orgasme pour décupler le plaisir.
Cette technique, popularisée par les milieux sadomasochistes, consiste à s’étrangler légèrement tout en se masturbant. Le manque d’oxygène provoquerait un état d’euphorie extrême, rendant l’orgasme plus intense.
Mais voici le problème… ça peut très mal tourner.
Une pratique mortelle qui fait des centaines de victimes. David Carradine n’est pas le seul à avoir perdu la vie à cause de cette pratique. Chaque année, aux États-Unis, des centaines de personnes meurent dans des circonstances similaires.
En 1994, Michael Hutchence, le chanteur du groupe INXS, est retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel à Sydney… même scénario.
En 2010, un politicien britannique, Stephen Milligan, est découvert nu, un sac en plastique sur la tête et une corde autour du cou. Cause du décès ? Auto-asphyxie érotique.
Et ce ne sont que quelques exemples… Beaucoup de ces morts sont classées à tort comme des suicides, car la honte pousse souvent les familles à dissimuler la vraie cause.
Une recherche du plaisir qui peut coûter la vie. Soyons clairs : ce n’est pas un simple jeu. Cette pratique est extrêmement risquée. Un mauvais calcul, une perte de conscience trop rapide, et c’est la mort assurée. Pas de retour en arrière.
Si David Carradine avait su qu’il ne sortirait pas vivant de cette soirée, il aurait sûrement réfléchi à deux fois avant de s’y adonner…
Alors si jamais tu entends parler de cette pratique ou que quelqu’un de ton entourage s’y intéresse, parles-en. La recherche de plaisir ne doit jamais coûter une vie.
