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Aux États-Unis, une femme de 61 ans a surpris sa famille et l’opinion publique en acceptant de porter et de donner naissance au bébé de sa propre fille, atteinte d’infertilité et incapable de mener une grossesse à terme.
Après un suivi médical rigoureux, la sexagénaire a suivi un traitement hormonal afin de préparer son corps à la gestation. Elle est finalement tombée enceinte grâce à une fécondation in vitro. L’ovule utilisé provenait de sa fille, tandis que le sperme était celui du mari de cette dernière. Biologiquement, les parents sont donc bien le couple initial, mais c’est la grand-mère qui a porté l’enfant.
Cette démarche, rare et médicalement encadrée, suscite intérêt et débats autour des limites de la gestation pour autrui, tout en mettant en lumière un geste familial profondément altruiste.





