Voici les 5 capitales les plus dangereuses au monde

Kinshasa, RDC

Capitale de la RDC, Kinshasa connaît une montée inquiétante du banditisme urbain. Les gangs appelés «Kuluna», armés de machettes et d’armes artisanales, attaquent dans les rues parfois en plein jour. Les coupures d’électricité, la pauvreté et le manque de présence policière favorisent un climat de violence fréquente. Les tensions sociales peuvent mener à des affrontements violents.

Mexico, Mexique

Mexico au Mexique a 2 visage : touristique et culturelle d’un côté, mais marquée par la violence des cartels de l’autre. Certains quartiers sont des zones rouges où s’enchaînent règlements de comptes, extorsions et disparitions forcées. Les journalistes et défenseurs des droits humains sont souvent attaqués. Circuler dans certains secteurs, surtout la nuit, peut devenir extrêmement risqué.

Mogadiscio, Somalie

La capitale de la Somalie, Mogadiscio, est en insécurité depuis plus de 30ans. Le groupe terroriste Al-Shabaab y mène souvent des attentats meurtriers contre les civils, les policiers ou les infrastructures publiques. Même avec des militaires internationaux présents, la ville est divisée entre les zones contrôlées par le gouvernement et celles tenues par des milices. Se déplacer y est dangereux.

Caracas, Venezuela

Caracas, au Venezuela, reste l’une des villes les plus violentes du Monde, même si le nombre de meurtres a légèrement diminué ces dernières années. Les braquages, les extorsions et les enlèvements sont fréquents, alimentés par une pauvreté extrême et une inflation incontrôlée. De plus, il y a une forte répression politique avec des violations des droits humains par les forces de sécurité.

Port-au-Prince, Haïti

Depuis 2021, la sécurité à Port-au-Prince n’a cessé de se détériorer. Plus de 80 % de la ville est aujourd’hui sous le contrôle de groupes armés, qui imposent leurs lois. Les habitants font face à des enlèvements quotidiens, des viols, des meurtres, et à l’absence totale de services publics. Les écoles, hôpitaux et tribunaux sont à l’arrêt dans plusieurs zones de la capitale d’Haïti.

Komla AKPANRI
Komla AKPANRI

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