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Les citoyens de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sont restés sur leur faim après avoir espéré un communiqué final des Chefs d’État à l’issue des activités commémoratives marquant les 50 ans de l’institution.
À ce jour, c’est silence radio : aucune information n’a filtré concernant les décisions prises pour le bien-être des populations.
Des sources proches de Faso Voxpress indiquent que les Chefs d’État peinent à trouver un consensus sur plusieurs points essentiels, conditionnant ainsi la production du communiqué final.
Tout porte à croire que la position de certains dirigeants ouest-africains sur la Confédération des États du Sahel (CES) constitue l’épicentre des désaccords. En effet, certains Chefs d’État privilégient encore une approche diplomatique avec l’Alliance des États du Sahel (AES) pour lutter contre la menace terroriste, tandis que d’autres, imbus de leur pouvoir, semblent agir au détriment des intérêts de leurs peuples respectifs.
Nos sources précisent également que si aucun accord n’est trouvé concernant l’AES, le communiqué final pourrait tout simplement éviter d’aborder le sujet, chaque État étant alors encouragé à privilégier des démarches bilatérales.
Au moment où nous écrivons ces lignes, la CEDEAO, qui s’est laissée manipuler par la France via l’un de ses dirigeants, Alassane Ouattara, voit ce dernier effectuer un énième voyage à Paris, peu après l’échec d’une tentative de déstabilisation du pouvoir du Président du Faso, Son Excellence le Capitaine Ibrahim Traoré dont les cerveaux se trouvent à Abidjan.
Source : Faso Voxpress
