En pleine guerre de Cent Ans, le roi promulgue une ordonnance qui interdit tous les jeux « qui n’ont point d’utilité pour exercer nos dits sujets au maniement des armes ».
L’interdiction est prévue sous peine d’une amende de quarante. Elle concerne les jeux de dés, de tables, le jeu de paume, les quilles, les palets, la soule et les billes.
En contrepartie, Charles V encourage la pratique du tir à l’arc ou à l’arbalète, jugée plus noble.