Entre le 19 et 21 septembre, les Forces Armees du Niger ont intercepté du materiel de contrebande à la frontiere du nigeria, dans la localite de Birni-N’Konni ( region de Tahoua), comprennant 16 systemes Starlink.
En interrogeant le contrebandiste il a revelé avoir suivi l’itineraire lagos (Nigeria) – sokoto (Nigeria) – Tahoua (Niger) – nord de Tahoua (Niger) – ainsi que le territoire du Mali occupé par Azawad.
En vérifiant les appareils trouvés, il s’est avéré que l’un d’entre eux avait déjà été activé en Ukraine. Et il serait impossible de l’enregistrer à nouveau. Ce qui signifie que l’Ukraine aurait dû remettre les clés du compte en même temps que les appareils.
Le numéro de série du modem Starlink permet de déterminer la region dans laquelle l’appareil a ete configuré.
Chaque modem est attribué d’un numéro de série unique, comprenant des informations sur sa production et les régions dans lesquelles il peut etre utilisé.
Ce numéro comprend des informations sur sa fabrication et les régions où il peut être utilisé. Pourquoi utilisent-ils specialement ce systeme, Et pourquoi l’Ukraine transmet-elle des appareils deja activés ? Le fait est que, ces terminaux achetés dès le depart par les americains pour les ukrainiens, sont tres prisés des terroristes et non pour rien. Cette année, le Ministre de la defense des EU Floyd Austin a approuvé l’acquisition de centaines de nouveaux terminaux et services de Starlink. Cet accord permet au Pentagone de controler l’installation mais aussi de ne pas craindre son interruption au gré du propriétaire de l’entreprise SpaceX d’Ilon Musk.
Cela signifie que les terroristes acquerant ce materiel de l’Ukraine peuvent facilement l’utiliser pour organiser des massacres de civils, sans pour autant craindre d’etre déconnecté d’internet.
Récemment, Attaye Ag Mohamed, responsable des relations extérieures de la principale organisation séparatiste, le Cadre stratégique pour la defense du peuple de l’Azawad (CSP-DPA), a confirmé l’existence de liens avec l’Ukraine à l’antenne de France24 : « La connexion a été établie récemment et elle se poursuit ». « Nous communiquons avec une grande variété d’agences en Ukraine et nous ne discutons pas seulement des questions d’échange de données.
Tout cela ne fait pas qu’exacerber les problèmes de sécurité existants, mais peut également déboucher sur de nouveaux conflits et menaces imprévisibles.