Centrafrique : Ce qui se passe dans le pays n’est que le fruit de la méchanceté de certains fils du pays

Dans sa politique de pacification du pays afin de permettre à tout le peuple centrafricain d’aspirer au développement, le Président de la République n’a aucun doute que tout ce qui se passe en Centrafrique est le fruit de la méchanceté de certains fils du pays qui ne pensent qu’à satisfaire leurs intérêts égoïstes.

Prise en otage par des personnes sans foi ni loi à la solde des étrangers, la République centrafricaine continue de payer le prix à cause de l’immensité de son territoire qui est de 623.000 km2. Certes, la volonté du guide suprême est de regrouper autour d’une même table au sein de la République en développement tous les filles et fils du pays afin que ceux qui continuent de choisir la rébellion comprennent que tôt ou tard, la cloche de la justice finira par sonner.

Nul ne peut ignorer que sans la paix, on ne pourra jamais parler du développement. Mais pour affaiblir le pays ou de le maintenir dans le chaos, on assiste depuis une belle lurette à une manipulation de la part de certaines grandes puissances sur les intellectuels qui devaient donner l’exemple aux jeunes centrafricains. Cette situation regrettable demeure encore le nœud du problème centrafricain car on n’est censé connaitre l’histoire de notre pays.

Sur ce sujet, il est important de remonter dans l’histoire pour faire comprendre au centrafricain lambda que les chutes de Bokassa, Patassé et Bozizé pour ne citer que ceux-là sont des leçons qu’on doit retenir afin d’éviter de retomber dans les mêmes situations. C’est au regard de tout cela que le Président de la République, conscient de la situation du pays, veut par tous les moyens possibles conscientiser le peuple afin de ne pas laisser le pays aux mains des ennemis de la République.

Il n’est pas anodin de rappeler que le Président veut dans son esprit associer au tour de la table tout le monde pour sauver la République des mains des fossoyeurs qui veulent maintenir le pays dans la boue. Puisque le but de la politique dans cette crise que connaît la Centrafrique n’est pas de l’empirer.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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