Coupe du monde: Voici les faits diverses des sélections africaines depuis 1974

À chaque coupe du monde l’Afrique créée toujours un fait. Cette fois-ci c’est le Ghana qui crée l’évènement. Le chargé des maillots, l’intendant a oublié les maillots des joueurs au Ghana.

En 1974, les joueurs zaïrois refusent de jouer et perdent 9 buts à zéro face à la Yougoslavie. Ils revendiquaient des primes. L’équipe avait atterri en RFA avec plus de 20 féticheurs et en 1990, les camerounais refusent de s’entraîner. Discutent les primes jusqu’à 4 heures du premier match. Arrivent avec un peu de retard au stade. Joseph Antoine Bell est suspendu dans la foulée.

En 1994, la malette d’argent du Cameroun est portée disparue jusqu’à ce jour entre Yaoundé et New-york. Pagal gifle Henri Michel. Les joueurs blessés sont retenus. L’équipementier n’a pas livré les maillots. On part les chercher au marché.

Toujours en 2002, Grève des camerounais à Paris pour des primes. L’équipe arrive en retard en Corée. Lors de la même Coupe du monde, Fadiga le meneur de jeu du Sénégal est interpellé dans un magasin pour vol de bijoux.

2006: Les joueurs togolais entrent en grève pour les primes. Leur entraîneur Otto Pfister les abandonne et est introuvable.

2010: Mouvement de grève des joueurs dans toutes les sélections nationales africaines, et soutout au Ghana pour revendiquer les primes. Au Cameroun, des joueurs refusent de jouer et menacent de taper sur les entraîneurs.

2014: Les joueurs camerounais se bagarrent en mondovision à la télévision. D’autres font des coups de coudes à des adversaires.

2022: À peine ça commence, L’intendant du Ghana a oublié les maillots de la sélection au pays. Ils seront acheminés vers le Qatar par les services postaux mais la fédération craint de ne pas les avoir à temps pour le premier match de la Coupe du Monde. Mais la fédération ghanéenne aurait démenti cette information. Même s’il s’agit d’un fait divers fake, nous inaugurons la saison des nouvelles bizarres autour des sélections nationales africaines.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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