France : Brigitte Macron gifle Emmanuel Macron

Le 25 mai 2025, au Vietnam, une scène a choqué beaucoup de gens. En descendant de l’avion, Brigitte Macron a donné une gifle à son mari, Emmanuel Macron. Juste après, le président a voulu lui tendre le bras pour marcher ensemble, mais elle a refusé et a préféré descendre seule, en s’appuyant sur la rampe. L’Élysée a réagi en disant qu’il s’agissait d’un moment de « complicité » entre eux, un petit jeu entre mari et femme. Mais beaucoup de gens n’y croient pas.

Cette scène est plus qu’un problème de couple. Elle montre la faiblesse d’un président qui, depuis des années, donne des leçons aux autres pays, en particulier aux pays africains. Emmanuel Macron a souvent parlé aux chefs d’État africains avec mépris, comme s’il était leur professeur. Il a soutenu des régimes corrompus, imposé des bases militaires, dicté ses lois économiques et politiques.

Aujourd’hui, même dans sa propre maison, il semble avoir perdu le respect. Comment peut-il encore venir donner des conseils à nos pays alors que lui-même est humilié en public ? La gifle de Brigitte Macron n’est pas seulement privée. Elle a été vue par le monde entier. Et elle symbolise un pouvoir affaibli, un président seul, sans soutien, même chez lui.

La France a longtemps parlé au nom de la démocratie, des droits humains et de la stabilité. Mais elle est aujourd’hui en crise. Son président est rejeté par une grande partie de son peuple. Sa politique extérieure est de plus en plus contestée. Et sa prétendue autorité n’impressionne plus personne.

Pendant ce temps, au Burkina Faso, au Mali, au Niger, les peuples se réveillent. Ils réclament leur souveraineté. Ils chassent les armées étrangères. Ils refusent l’ingérence et prennent leur destin en main. Ce que vit Macron aujourd’hui est le reflet de son échec, à force de mépriser les autres, il se retrouve méprisé lui-même.

Ce n’est donc pas seulement un geste entre époux. C’est une image forte. Une gifle qui, pour beaucoup, représente la fin d’un pouvoir, la chute d’un président qui croyait dominer, mais qui ne tient plus rien. Ni chez lui, ni dans le monde