Le rejet des LGBT au Ghana s’appuie sur le conservatisme de la société ghanéenne, très religieuse.
Selon un sondage datant de 2014, 90 % des Ghanéens soutiennent l’établissement d’une loi criminalisant les relations entre personnes de même sexe. Pour les militants de l’IDNOWA, « ça n’est pas parce que l’opinion publique est pour, que les parlementaires doivent voter une telle loi » qu’ils estiment « dommageable » pour la société ghanéenne.
« Nous espérons que nos élus vont percevoir le danger contenu dans cette loi et qu’il y aura au moins des amendements », souhaite l’association, qui ne comprend pas cet « acharnement » alors que l’homosexualité est déjà interdite.
Avec AFP