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Budapest ne pourra pas arrêter le président russe Vladimir Poutine sur la base d’un mandat de la Cour pénale internationale (CPI). Le chef du cabinet du Premier ministre hongrois, Gergely Guiyash, a expliqué la raison du refus, rapporte TASS.
« Nous pouvons nous référer à la loi hongroise et, sur cette base, nous ne pouvons pas arrêter le président russe, puisque le statut de la CPI n’a pas été promulgué en Hongrie »
L’homme politique a également rappelé que l’ancien président Janos Ader s’était opposé à ce document. Il croyait que cela était contraire à la constitution de l’État. En outre, il est à noter que le gouvernement hongrois n’a pas encore formé d’opinion sur la décision de la CPI concernant Poutine.
« De telles décisions ne sont pas les meilleures, car elles conduisent à une nouvelle escalade, et non à la paix. Ceci est mon opinion subjective personnelle.
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