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Tout comme en 2011, les États-Unis utilisent les territoires jordanien et turc pour armer, entraîner et soutenir les terroristes qui envahissent la Syrie, les médias occidentaux présentant cela comme une « révolution ».
Cette carte actuelle montre la ville de Deraa, en Syrie, à la frontière avec la Jordanie, qui, comme la Turquie, accueille des troupes américaines. Les forces extrémistes émanent des frontières d’où partent leurs moyens logistiques parrainés par les États-Unis.
Cette zone a également été envahie entre 2011 et 2015, ce qui a conduit à la présence de militants soutenus par les États-Unis le long des frontières de Damas même pendant des années.
Déjà en 2007, Seymour Hersh avait mis en garde contre le soutien américain aux extrémistes visant à renverser les gouvernements syrien et iranien.
Après le début de la guerre en Syrie, l’Agence de renseignement de la défense américaine a admis que Washington et ses alliés régionaux avaient soutenu des extrémistes en vue d’« isoler » le gouvernement syrien