Italie/ vaccination contre covid-19: vers une dictature sanitaire?

L’Italie est coupée du reste du monde suite à l’imposition du vaccin contre la pandémie à corona virus. Des manifestations s’organisent chaque jours par la population italienne pour dénoncer l’imposition, mais les réseaux sociaux, Facebook, Instagram et Whatsapp ont bloqués la publication de ces informations.

La police italienne ne cesse de brutaliser la population qui se manifeste contre l’obligation de se vacciner. L’information a été révélée par le Dr. Komgem Gabriel Merlin d’origine camerounaise qui a posté une vidéo dans laquelle on assiste à la bavure policière sur les manifestants. Selon lui, la majorité de la population a abandonné leur boulot à cause de l’imposition du pass vaccinal. Il indique aussi que plusieurs africains quittent actuellement l’Italie vers l’Afrique.

“Actuellement en Italie, nous sommes en état de siège. Whatsapp ne permet même pas d’envoyer des images de ce qui se passe en Italie actuellement. 

Nous autres, on critique peut-être nos pays pour améliorer, mais nous reconnaissons qu’aujourd’hui la dictature qui est en occident ça n’a pas de comparaison surtout en Italie actuellement, là où on oblige des gens à se vacciner. 

Actuellement, nous autres, on a dû abandonner le travail tout simplement parce qu’on ne veut pas se vacciner. Nous devons faire une réflexion même.

Aujourd’hui nous avons des outils, il y a des plateformes panafricaines par exemple OnDjoss comme whatsapp, on doit se déplacer vers là. Whatsapp bloque carrément toutes les informations concernant les grèves qui se passent en Italie. On n’en parle pas dans les télévisions, Facebook, whatsapp bloquent toutes ces manifestations là où surtout, la police utilise la violence contre la population” a déclaré Dr. Komgem Gabriel Merlin.

Selon toujours la source, des élèves d’un établissement scolaire ont été vaccinés sans l’accord des parents. Du désordre en Italie actuellement. On se demande, pourquoi obliger une personne à se vacciner? Tout ça, les organisations des droits de l’homme sont là, voit tout cela sans les dénoncer.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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