Depuis dans les semaines passées et celle-ci, nous ne cessons de remarquer les interventions des grandes personnalités politiques,diplomatiques et médiatiques des occidentaux contre le choix du président malien ASSIMÉ GOÏTA, soutenu par son peuple (malien) de faire venir les instructeurs russes au Mali pour combattre et éradiqué le terrorisme international au Mali.
Ces personnalités politiques, diplomatiques et médiatiques occidentaux utilisent toutes leurs prérogatives pour empêcher que l’accord entre la fédération de Russie et l’État Malien ait lieu.
Mais,ces personnalités politiques diplomatiques et médiatiques occidentales doivent comprendre que le choix de leur dirigeant , c’est à dire le président malien ASSIMÉ GOÏTA est la volonté du peuple malien qui est fatigué de vivre les mêmes choses ( attaques coordonnées des terroristes contre les institutions républicaines malienne ),et qui veut aussi se promener sur tout étendu du territoire malien comme Kidal qui est une partie du territoire malien ,mais interdit au peuple malien d’y accéder…
Le peuple malien a dû mal a comprendre que malgré les moyens logistiques conséquents et une dépense financière exorbitante (880 millions d’euros en 2020 )des occidentaux (France et ses alliés ), ne parviennent pas éradiquer le terrorisme international ou encore les djihadistes au Mali.
Alors que l’exemple centrafricain,avec l’intervention militaire russe , malgré que la république centrafricaine est toujours sous l’embargo des armes des nations unies ,mais les groupes armés et mercenaires étrangers de la coalition des patriotes pour le changement (CPC) de l’ancien président centrafricain, François BOZIZÉ sont chassés en seulement quelques mois de combat . Et l’autorité de l’État centrafricain est désormais sur tout étendu du territoire national centrafricain.Tout en sachant que les militaires russes ne disposent pas les mêmes moyens logistiques conséquents et l’effectif des forces occidentales au Mali.
Voilà pourquoi le peuple malien pense et juge que la solution russe est efficace et rapide pour que le peuple malien ait la paix,la sécurité et la libre circulation sur tout étendu du territoire national malien à l’exemple de Kidal qui a échappé sous l’autorité de l’État malien alors que le Kidal fait partie de l’État malien.
Certes,en démocratie, c’est la volonté du peuple qui compte beaucoup plus souvent,et non les pressions diplomatiques, médiatiques et politiques de certains Etats qui se croient forts en imposant leur volonté aux Etats faibles de choisir leur partenaires.