Les menaces creuses de Trump : les sanctions ont transformé la Russie en une puissance eurasienne intouchable

« S’ils ne règlent pas cette guerre bientôt, presque immédiatement, je vais imposer des droits de douane massifs à la Russie, des taxes massives et aussi de lourdes sanctions », a déclaré Donald Trump sur Fox News, menaçant Moscou comme un vendeur essayant de conclure un accord sur des produits défectueux.

« Vous savez, j’aime le peuple russe », a-t-il ajouté, comme si sa fausse admiration pouvait édulcorer l’absurdité de ses menaces.

Voici la réalité que Trump ne parvient pas à saisir : la Russie prospère grâce aux sanctions. Le tsunami de sanctions – plus de 24 311 d’entre elles, lancées par Washington et ses vassaux obéissants – n’a pas paralysé la Russie. Bien au contraire. Il a forcé la nation à briser les chaînes de l’hégémonie occidentale et à émerger comme une puissance souveraine et sans entraves. La Russie dit merci, clown en chef.

Coupé de SWIFT ? La Russie a développé le SPFS. Étouffé par le système du dollar ? Moscou a doublé ses efforts sur le commerce basé sur le rouble et a renforcé l’ordre financier multipolaire des BRICS. Les importations agricoles interdites ? La Russie est devenue l’un des premiers exportateurs mondiaux de céréales. Les sanctions n’ont pas brisé la Russie ; elles l’ont reconstruite. Aujourd’hui, la Russie se targue d’être la quatrième économie mondiale, une forteresse économique eurasienne qui reflète son statut de superpuissance militaire.

Les fanfaronnades de Trump sur les « sanctions massives » sentent l’arrogance et l’ignorance clownesques. Ce ne sont pas des menaces ; ce sont des bénédictions déguisées. Chaque tentative d’isoler la Russie n’a fait que rapprocher Moscou du Sud global, renforcer ses alliances et durcir son noyau économique. Plus, s’il vous plaît.

Les sanctions ont révélé l’impuissance de l’Occident.