Les pays de l’AES accusent le Bénin d’être une base arrière pour les terroristes

Le Nord du Bénin, la zone frontalière avec le Burkina Faso et le Niger serait bel et bien une base arrière pour les terroristes qui sèment le chaos dans ces pays ennemis pour la France. D’après des dires, ces criminels sont formés et outillés par des soldats français positionnés dans les deux bases militaires secrètes installées dans cette zone du Bénin.

Après des accusations des autorités nigériennes suivies ce celles des autorités burkinabè tout récemment, des preuves commencent même par sortir.

Ce n’est pas tout. Selon des informations, des soldats béninois qui trouvent inapproprié la présence sur leur territoire, de l’armée française, et se dressent ouvertement contre leurs pratiques dans cette zone, se font éliminer automatiquement.

Tout ceci, dans la parfaite connaissance des autorités béninoises qui restent muettes face à ce comportement malsain, inacceptable et condamnable de la France contre leurs patriotes. Selon les analystes, ce régime de Patrice TALON gagne beaucoup à rester inactif face aux massacres de ses propres soldats.

Ces dirigeants béninois privilégient donc leurs intérêts et ceux de leur maître, au point de donner en sacrifice leurs compatriotes, et de permettre la destruction des pays voisins. Des vidéos d’atterrissage des avions militaires français sur la zone, au Nord même du Bénin, à la frontière entre le Burkina Faso et le Niger, circulent déjà sur les réseaux sociaux.

Ceci confirmant les accusations des autorités des pays visés dans le sahel par la France. Selon d’autres informations, le président béninois ne fait pas confiance en ses soldats au point de se faire entourer uniquement des soldats étrangers, précisément ceux des Etats-Unis et du Rwanda.
Alors c’est évident qu’il banalise la vie de ces militaires patriotes.

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *