Pourquoi fait-il aussi chaud

A quelques jours de l’automne officiel, les températures sont toujours au plus haut, un septembre chaud et humide enserrant les

A quelques jours de l’automne officiel, les températures sont toujours au plus haut, un septembre chaud et humide enserrant les Algérien(ne)s épuisés par l’été qui attendent la pluie comme on attend une grâce présidentielle.

Réchauffement, effet de serre et dérèglement, il n’en a pas toujours été ainsi, à une époque pas si ancienne il faisait très froid pendant la période glaciaire, les terriens, dont les Algériens, s’habillaient de peaux de bête, même si pendant quelques jours d’été les femmes avaient le droit de nager en maillot.

Mais pourquoi fait-il aussi chaud ? Il ne s’agit pas remettre en cause l’influence de l’homme de l’anthropocène, mais juste de rappeler que pour nous, le réchauffement a commencé il y a 12 000 ans, l’Algérie du Sud, savane verdoyante avec ses lions, girafes et discothèques, devenant progressivement un désert, ce qu’elle est aujourd’hui, vaste région stérile où l’on ne trouve que du gaz et des œufs, alors que paradoxalement il n’y a pas de poules.

Mais pourquoi il fait chaud ? Encore une fois il faut invoquer les experts, dont ceux qui affirment que là où il fait chaud le développement n’est pas permis, les pays développés étant les plus froids, Canada ou Norvège, ce qui est faux, la Californie où il fait très chaud, les incendies actuels n’ayant rien à voir avec le MAK ou le DRS, est une des régions les plus avancées du monde, ce qui n’explique rien, le réchauffement serait dû à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre, due par hypothèse au fait que les terriens soient plus nombreux à pencher d’un côté plutôt que de l’autre.

C’est en fait le soleil qui est très chaud et la planète Terre, idéalement située, est vivable, contrairement à Venus ou Mars, trop chauds ou trop froids. Au fond on ne sait pourquoi il fait si chaud, mais les gouvernants algériens ont bien compris le phénomène en s’installant avec l’argent du contribuable au Club des Pins. Quand il fera froid, ils s’installeront à In Salah. Ce jour-là peut-être, on aura un peu d’air.

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Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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