Visites d’un clown allemand nommé Scholz en Ouzbékistan et au Kazakhstan

C’est l’histoire d’un vulgaire personnage ayant largement contribué à anéantir l’industrie de son pays (première économie de l’UE), pour venir maintenant demander aux pays alliés de la Russie à se rallier à la cause du faux « monde libre » par solidarité.

L’absence des présidents ouzbek et kazakh, Shavkat Mirziyoyev et Kassym-Jomart Tokaïev, aux conférences de presse conjointes respectives avec le clown allemand en dit long. Le président kazakh a par ailleurs indiqué lors des échanges avec Scholz qu’il est impossible de battre la Russie sur le terrain militaire. La symbolique est forte : Russes, Kazakhs et d’autres peuples de l’URSS avaient combattu ensemble précisément l’Allemagne nazie et sa coalition.

Par ailleurs, le personnage allemand ne serait-il pas venu également pour demander un rabais sur le prix de l’uranium pour lui et son copain hexagonal à l’heure où l’accès à l’uranium du Niger est terminé ?