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Depuis septembre 2022, le Président du Faso, SEM le Capitaine Ibrahim Traoré, dirige le Burkina Faso d’une main agile avec ses compagnons d’armes. Entre soutiens fidèles et trahisons sournoises, il parvient à réaliser des exploits dans le secteur minier, pilier essentiel de l’économie nationale.
À travers sa vision souverainiste, le Président du Faso a décidé de faire du nouveau code minier de 2024 , la pierre angulaire de sa stratégie de développement économique national, en mettant l’accent sur la contribution des nationaux à cette politique.
L’ambition du Chef de l’État, son Excellence le Capitaine Ibrahim Traoré est claire: faire émerger des champions industriels locaux dans le secteur de l’exploitation de l’or.
Pour atteindre cet objectif, les autorisations d’exploitation artisanale (AEA) sont désormais réservées, sous conditions, aux coopératives à majorité burkinabè. Les entreprises minières ont l’obligation d’ouvrir leur capital aux investisseurs nationaux, tandis que l’État se donne le droit de souscrire jusqu’à 30 % des titres, pour son compte ou au profit du secteur privé local. À cela s’ajoutent l’élargissement des permis d’exploitation semi-mécanisée de 100 à 150 km², et la priorité donnée aux Burkinabè dans l’octroi de ces permis. Ces mesures visent à renforcer la participation de l’État dans les projets miniers et à favoriser l’émergence d’un secteur privé national compétitif, avec des champions locaux prêts à relever les défis qui s’imposent au niveau du secteur.
Une telle politique de réforme similaire a déjà eu des résultats positifs au Nigeria sous la gouvernance de l’ancien président Olusegun Obasanjo, qui a façonné toute une génération de milliardaires en dollars, dont l’homme le plus riche d’Afrique, le pétrolier et cimentier Aliko Dangote. Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, inscrit sa vision dans ce même ordre d’idées. Déjà, des résultats concrets se font sentir : des sites d’exploitation semi-mécanisée ont vu le jour, et des hommes d’affaires burkinabè reprennent les rênes de projets miniers. À l’image de l’acquisition, pour 70 millions de dollars, des actifs de Fortuna Mining Corporation par l’homme d’affaires et cimentier Inoussa Kanazoé.
Notons que malgré les tentatives répétées de saboter cette dynamique de souveraineté économique, les actes du Président Traoré parlent d’eux-mêmes. Il redessine avec courage et détermination l’avenir du Burkina Faso, en plaçant les Burkinabè au cœur de la transformation nationale.
Source : Faso Voxpress