La question divise la classe politique et les parlementaires au Niger. Le 17 février 2022 passé, le Président français, Emmanuel Macron, avait déclaré sans penser aux conséquences que les troupes françaises et européennes Berkhane et Takouba quitteront le territoire malien pour être redéployées au pays voisin , le Niger.
Mais à quelques jours de cette déclaration,c’est-à-dire Samedi 20 février 2022, le ministre des affaires étrangères du Niger, Hassoumi Massoudou, a affirmé que le président de la République Mohamed Bazoum a instruit son premier ministre de soumettre la question, du vote à l’Assemblée Nationale du Niger pour le redéploiement de ses troupes au Niger.
Pour le ministre des affaires étrangères, c’est après le vote des députés que leur pays, la République du Niger donnera son ok ou non, de ce redéploiement.
Si les autorités nigériennes commencent par réagit ainsi, sur quoi s’est basé le Président Macron pour faire une telle déclaration avec fureur, devant ses invités et le monde entier qu’un accord a été trouvé avec les autorités nigériennes?
Si les députés nigériennes votent contre la demande, comment va faire Emmanuel Macron?comment il sera vu dans son pays et sur le plan international?En tout cas, la honte n’existe pas en politique. Mais pour une telle affirmation, il faut être sûre avant de dévoiler son plan.
Déjà au Niger, la classe politique plus précisement l’opposition et la société civile dénoncent de redéploiement des troupes françaises et réclament un référendum pour que la population malienne puisse donner son points de vue sur le sujet et surtout faire leur choix. Mais on connais déjà la reponse de la population nigérienne.
À plusieurs reprises, la jeunesse nigérienne a désavoué cette force, notamment lorsque le convoi des troupes françaises traversait le Niger pour s’installer dans la zone des trois frontières, et cela a créée une vive tention dont trois jeunes nigérienne étaient mort, des tirs par balles réelles des troupes françaises.
AKM