Tensions diplomatique autour du logiciel espion Pegasus

Depuis quelques jours une enquête a révélée qu’une vingtaine de pays, hommes politiques et journalistes sont espionné par le logiciel Pegasus de la société israélienne, NSO

Le logiciel Pegasus de la société israélienne était connu comme une logiciel de l’espionnage depuis. Mais cette fois-ci, il a pris un ampleur en espionnant aussi le président français, Emmanuel Maccron et certains de ses ministres.

L’information a été révélée grâce à une large enquête pilotée par Forbidden Stories, Consortium international de journalistes.

L’entrepise israélienne a crée un logiciel d’espionnage de haut niveau qui une fois infecte un téléphone portable, il intercepte toutes les données qui sont dans le téléphone surtout, ils peuvent écouter toutes tes conversations. De plus les messages cryptés sont lu.

Compte tenu de l’éfficacité du logiciel, plusieurs pays l’ont utilisé contre leurs opposants et contre la presse(Togo).

Lors des enquêtes, Forbidden Stories a pu arriver a eu accès à 500.000 numéros de téléphone espionné depuis 2016 par la société israélienne. Forbidden Stories a détecté 17 médias dans la liste, 180 journalistes, 600 hommes et femmes politiques, 85 militants des droits humains et 65 chefs d’entreprise. On note aussi un chef d’État et des chefs de gouvernement européen.
” Nous ne parlons pas ici juste de quelques États voyous, mais d’une utilisation massive d’un logiciel espion par au moins une vingtaine de pays ” a laissé entendre,la secrétaire générale d’Amnesty international, Agnès Callamard.

” Ce sont des faits extrêmement graves. Nous sommes extrêmement attachés à la liberté de la presse” a indiqué ce lundi le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.

Pour la présidente de la commission européenne, Ursulan Von der Leyen, si les accusations envers la société est avéré “c’est complètement inacceptable”

Ce n’est pas la première fois que la société est pointé. L’Arabie Saoudite l’a utilisée pour espionner le téléphone du patron D’Amazon, Jeff Bezos en 2018.

Dans le rapport de l’enquête trois journalistes togolais dont Ferdinand Ayité sont aussi cités

Komla
Komla

Je me nomme AKPANRI Komla, historien de formation, arbitre fédéral. Le journalisme est une passion pour moi plus précisément le journalisme sportif puisque je suis un sportif. Ayant fait une formation en histoire, j'aborde aussi des questions politiques, sociales et culturelles

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