0076/HAAC/01-2023/pl/P
La Côte d’Ivoire, sous le régime du très serviable Alassane Dramane Ouattara, aurait conclu un pacte de non-agression avec les groupes terroristes qui sévissent dans sa région frontalière avec le Burkina Faso.
Selon certaines sources, des terroristes ayant fui les offensives des Bataillons d’intervention rapide du Burkina Faso pour se réfugier en Côte d’Ivoire et qui avaient été capturés puis emprisonnés par la gendarmerie de Téhini auraient été libérés le samedi 24 mai.
Si ces informations se confirment, Ouattara et son entourage auraient exposé la population ivoirienne à une situation de mort en sursis, car aucun pacte ne saurait prémunir durablement la Côte d’Ivoire contre la menace terroriste.
Si Alassane Dramane Ouattara et son état-major avaient un minimum de lucidité, ils consulteraient l’Histoire pour comprendre que face à ces criminels sans foi ni loi, seule une armée bien équipée et déterminée peut garantir la sécurité du pays.
Libérer des terroristes pour qu’ils poursuivent leurs exactions au Burkina Faso ne ferait que mettre la Côte d’Ivoire dans une situation de bombe à retardement.
En effet, du côté du pays des Hommes intègres, la stratégie militaire adoptée et couplée à un équipement renforcé, démontre une volonté ferme : aucune portion du territoire national, ni celle d’un pays voisin, ne servira de refuge aux terroristes. Depuis septembre 2022, sous le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso se donne les moyens de neutraliser cette menace sur son sol.
Le peuple ivoirien est désormais face à son destin et doit assumer ses responsabilités face à un régime qui semble jouer un jeu dangereux avec les terroristes, sans réelle considération pour leur sécurité à moyen et long terme.
Source : Faso Voxpress